[1] Nicole Dufournaud et Bernard Michon, « Les femmes et le commerce maritime à Nantes (1660-1740) : un rôle largement méconnu », Clio. Histoire‚ femmes et sociétés [En ligne], 23 | 2006, mis en ligne le 01 juin 2008, consulté le 03 août 2018. URL : http://journals.openedition.org/clio/1926 ; DOI : 10.4000/clio.1926
[4] Noémie Renard, « Figures de la laideur féminine » Antisexisme – Sexisme et Sciences Humaines – Féminisme [en ligne]. Mis en ligne le 19 mars 2016, consulté le 03 août 2018. Antisexisme.net. ISSN 2430-5812. URL : https://antisexisme.net/2016/03/19/impuissance09/
[13] Kneginja Richter, Sophia Adam, Lennard Geiss, Lukas Peter
& Guenter Niklewski (2016): Two in a bed: The influence of couple sleeping and chronotypes on relationship and sleep. An overview, Chronobiology International, DOI: 10.1080/07420528.2016.1220388
[14] James Robards, Maria Evandrou, Jane Falkingham, Athina Vlachantoni (2012) : Marital status, health and mortality. DOI : 10.1016/j.maturitas.2012.08.007
[16] Walt, « Live alone and like it by Mel Tormé », SecondHandSongs, [en ligne], date de publication inconnue, consulté le 03 août 2018, URL : https://secondhandsongs.com/performance/640542
28 réflexions sur “Single Ladies ! – Et si on faisait la paix avec le célibat ?”
Le sondage sur la dépression est très parlant, ce n’est pas étonnant mais quand-meme ça fait un peu un choc cet écart, les femmes sont encore largement responsables du travail émotionnel… Dans mon entourage j’avoue aussi que je vois des femmes dont les dépressions ont été intimement liées à leur relation de couple qui se passait mal voire était entièrement toxique, pas si étonnant dans ces cas là que le conjoint ne soit pas la première personne vers qui se tourner. Merci pour cette BD qui est encore excellente avec plein de références
Merci à toi ! Il y avait aussi, il me semble, un sondage qui montrait que les enfants se tournaient d’abord vers leurs mères quand ils étaient tristes. Et que le père arrivait en 4e ou 5e position, après les copains ou le personnel de l’école ! Il faudrait que je le retrouve, c’était intéressant aussi.
Dans a lignée des chiffrs, plus daté mais toujours parlant, le travail de Durkheim sur le suicide qui souligne que les femmes mariées se suicident plus que les femmes célibataires, et inversement pour les hommes. Toujours dans la même lignée, les femmes consomment plus de psychotropes que les hommes (https://www.europsy-journal.com/article/S0924-9338(15)00092-9/abstract).
Merci pour ces infos complémentaires ! je viens de découvrir votre blog, ça a l’air super intéressant, j’ai hâte de pouvoir lire tout ça plus en détail 🙂
Il me semble qu’il souligne aussi que les femmes se suicident beaucoup moins que les hommes à l’époque non ? Il faudrait que je creuse davantage ça en effet, merci beaucoup 🙂
Tant que j’y pense, le sujet me fait penser aussi à un excellent article paru dans le numéro 1 de la revue Panthère première (je pense que tu aimerais beaucoup cette revue d’ailleurs !).. qui parle justement du travail émotionnel dans le couple
Le texte dont tu parles est une lecture croisée par Claire Feasson des Sentiments du prince Charles de Liv Strömquist et de Pourquoi l’amour fait mal d’Eva Illouz.
En effet, il y a des convergences entre Panthère Première et « Dans mon tiroir »… que vous ne soupçonnez pas !
J’en profite pour laisser un petit message technique : c’est Mona Chollet sur Twitter qui m’a emmenée ici malgré un aperçu désastreux sur son lien. Comme il n’y a aucun texte avant les notes (le texte est inclus dans les dessins et donc traité comme une image), l’aperçu donne celui-ci :
[1] Nicole Dufournaud et Bernard Michon, « Les femmes et le commerce maritime à Nantes (1660-1740) : un rôle largement méconnu », Clio. Histoire‚ femmes et sociétés
J’ai hésité, pas super envie de cliquer sur un billet de blog sur le commerce maritime mais le titre m’a convaincue. Peut-être qu’il faudrait mettre un chouïa de texte avant pour qu’il soit mieux pris en compte dans les aperçus des réseaux sociaux et peut-être également les moteurs de recherche.
J’ai mis du temps à comprendre ce que tu voulais dire pour l’aperçu Twitter, mais je crois que je viens de voir où tu voulais en venir ! je verrai pour les prochaines fois comment je peux faire – la BD se diffuse pas mal via Facebook et j’avoue que je suis moins habituée à Twitter, mais il faut clairement que je m’y mette 😉
Je suis ravie de savoir que ces liens existent, merci pour ces précisions 😀
Merci pour ton travail en général, précis, détaillé et toujours bien illustré; et pour ce post-ci en particulier.
C’est plaisant de penser que, peut-être, avec le temps, on pourra fournir aux jeunes des modèles de célibataires fortes ou du moins heureuses de cette situation.
Rien que dans mon entourage proche, tous mes amis célibataires le vivent plutôt bien (voire très bien) alors, que du côté de mes amies, à part une, toutes les autres paniquent à l’idée de rester célibataire.
Magnifique ! c’est tellement bien dit ! Et j’essaie dans ma rubrique Célib à terre de montrer au monde ces femmes célibataires, inspirantes et heureuses pour défaire les stéréotypes. Merci pour cet article !
Merci pour toutes les jolies notes, celle-ci est géniale comme plein d’autres.
Il y a quelque chose que j’aimerai ajouter, par rapport au fait que la rupture profite plus aux femmes qu’aux hommes… au niveau émotionnel et temps pour soi. Par contre, au niveau financier, une rupture signifie souvent une certaine précarité financière (je pense aux statistiques de pauvreté des mères monoparentales par exemple). Une précarité due aux « choix » imposés et non égalitaires durant la vie de couple (s’occuper des enfants et sortir en tout ou en partie du marché du travail)…ou à une plus mauvaise position à l’origine sur le marché du travail …. raison pour laquelle on pousse à l’origine aussi les filles et femmes dans le couple, dans le système économique qui est le nôtre… et la boucle et bouclée 😉
Une BD super riche et enrichissante. Bravo ! Et merci à La Nébuleuse (une fois de plus).
La BD m’a un peu fait pensé au discours de l’autrice Chimamanda N’gozie Adichie, son célèbre « we should all be feminist », dans lequel elle s’interrogeait sur pourquoi on enseigne aux femmes de devenir des épouses mais qu’on ne fait pas de même pour les hommes.
Une BD qui mérite d’être partagée, diffusée et repartagée. Merci !
Merci beaucoup ! je poste moins de choses sur le blog en ce moment mais je prépare mon futur album BD et je donne quelques nouvelles sur Instagram ! :p
Le sondage sur la dépression est très parlant, ce n’est pas étonnant mais quand-meme ça fait un peu un choc cet écart, les femmes sont encore largement responsables du travail émotionnel… Dans mon entourage j’avoue aussi que je vois des femmes dont les dépressions ont été intimement liées à leur relation de couple qui se passait mal voire était entièrement toxique, pas si étonnant dans ces cas là que le conjoint ne soit pas la première personne vers qui se tourner. Merci pour cette BD qui est encore excellente avec plein de références
Merci à toi ! Il y avait aussi, il me semble, un sondage qui montrait que les enfants se tournaient d’abord vers leurs mères quand ils étaient tristes. Et que le père arrivait en 4e ou 5e position, après les copains ou le personnel de l’école ! Il faudrait que je le retrouve, c’était intéressant aussi.
Dans a lignée des chiffrs, plus daté mais toujours parlant, le travail de Durkheim sur le suicide qui souligne que les femmes mariées se suicident plus que les femmes célibataires, et inversement pour les hommes. Toujours dans la même lignée, les femmes consomment plus de psychotropes que les hommes (https://www.europsy-journal.com/article/S0924-9338(15)00092-9/abstract).
Je rejoins La Nébuleuse : merci pour cette BD !
Merci pour ces infos complémentaires ! je viens de découvrir votre blog, ça a l’air super intéressant, j’ai hâte de pouvoir lire tout ça plus en détail 🙂
Il me semble qu’il souligne aussi que les femmes se suicident beaucoup moins que les hommes à l’époque non ? Il faudrait que je creuse davantage ça en effet, merci beaucoup 🙂
Tant que j’y pense, le sujet me fait penser aussi à un excellent article paru dans le numéro 1 de la revue Panthère première (je pense que tu aimerais beaucoup cette revue d’ailleurs !).. qui parle justement du travail émotionnel dans le couple
Ah ça m’intéresse trop ! justement je voulais en parler et je n’ai pas trouvé suffisamment de données pour aborder le sujet dans cette BD !
Il y a aussi le blog éventuellement sur certains aspects, elle bosse sur les pères au foyer entre autres https://systemececilia.wordpress.com/
Le texte dont tu parles est une lecture croisée par Claire Feasson des Sentiments du prince Charles de Liv Strömquist et de Pourquoi l’amour fait mal d’Eva Illouz.
https://pantherepremiere.org/texte/lamour-sur-le-ring/
En effet, il y a des convergences entre Panthère Première et « Dans mon tiroir »… que vous ne soupçonnez pas !
J’en profite pour laisser un petit message technique : c’est Mona Chollet sur Twitter qui m’a emmenée ici malgré un aperçu désastreux sur son lien. Comme il n’y a aucun texte avant les notes (le texte est inclus dans les dessins et donc traité comme une image), l’aperçu donne celui-ci :
[1] Nicole Dufournaud et Bernard Michon, « Les femmes et le commerce maritime à Nantes (1660-1740) : un rôle largement méconnu », Clio. Histoire‚ femmes et sociétés
J’ai hésité, pas super envie de cliquer sur un billet de blog sur le commerce maritime mais le titre m’a convaincue. Peut-être qu’il faudrait mettre un chouïa de texte avant pour qu’il soit mieux pris en compte dans les aperçus des réseaux sociaux et peut-être également les moteurs de recherche.
Merci pour les compléments !
J’ai mis du temps à comprendre ce que tu voulais dire pour l’aperçu Twitter, mais je crois que je viens de voir où tu voulais en venir ! je verrai pour les prochaines fois comment je peux faire – la BD se diffuse pas mal via Facebook et j’avoue que je suis moins habituée à Twitter, mais il faut clairement que je m’y mette 😉
Je suis ravie de savoir que ces liens existent, merci pour ces précisions 😀
C’est excellent, très bien vu, bravo ! :-))
Merci pour ton travail en général, précis, détaillé et toujours bien illustré; et pour ce post-ci en particulier.
C’est plaisant de penser que, peut-être, avec le temps, on pourra fournir aux jeunes des modèles de célibataires fortes ou du moins heureuses de cette situation.
Rien que dans mon entourage proche, tous mes amis célibataires le vivent plutôt bien (voire très bien) alors, que du côté de mes amies, à part une, toutes les autres paniquent à l’idée de rester célibataire.
Excellent !
Je l’ai partagé le plus possible ♥
Contente de découvrir votre travail, j’adore ! Hâte de lire les prochaines 🙂
Magnifique ! c’est tellement bien dit ! Et j’essaie dans ma rubrique Célib à terre de montrer au monde ces femmes célibataires, inspirantes et heureuses pour défaire les stéréotypes. Merci pour cet article !
Merci ! je vais jeter un oeil à la rubrique. 🙂
Merci pour toutes les jolies notes, celle-ci est géniale comme plein d’autres.
Il y a quelque chose que j’aimerai ajouter, par rapport au fait que la rupture profite plus aux femmes qu’aux hommes… au niveau émotionnel et temps pour soi. Par contre, au niveau financier, une rupture signifie souvent une certaine précarité financière (je pense aux statistiques de pauvreté des mères monoparentales par exemple). Une précarité due aux « choix » imposés et non égalitaires durant la vie de couple (s’occuper des enfants et sortir en tout ou en partie du marché du travail)…ou à une plus mauvaise position à l’origine sur le marché du travail …. raison pour laquelle on pousse à l’origine aussi les filles et femmes dans le couple, dans le système économique qui est le nôtre… et la boucle et bouclée 😉
Ah oui, c’est très juste !… 🙂 merci pour ton gentil commentaire !
Une BD super riche et enrichissante. Bravo ! Et merci à La Nébuleuse (une fois de plus).
La BD m’a un peu fait pensé au discours de l’autrice Chimamanda N’gozie Adichie, son célèbre « we should all be feminist », dans lequel elle s’interrogeait sur pourquoi on enseigne aux femmes de devenir des épouses mais qu’on ne fait pas de même pour les hommes.
Une BD qui mérite d’être partagée, diffusée et repartagée. Merci !
Merci ! J’adore Chimamanda N’gozie Adichie et je suis en train de relire son livre en ce moment d’ailleurs 🙂
Magnifique 😀 félicitation 🙂
Merci beaucoup ! je poste moins de choses sur le blog en ce moment mais je prépare mon futur album BD et je donne quelques nouvelles sur Instagram ! :p